Mexique

  • 14 décembre 2011 au 24 avril 2012 (132 jours)
  • 10 000 km parcourus

Mexique

Nous sommes littéralement tombés en amour avec le Mexique. Toutes nos craintes initiales se sont avérées non fondées. Nous nous sommes toujours sentis en sécurité et nous n’avons connu aucun inconfort physique lié à l’eau et à la nourriture.

L’accueil, la générosité, la simplicité et la gentillesse des Mexicains nous a impressionnés.

Le pays a énormément à offrir en terme de diversité culturelle, climatique, géographique et possède un riche passé historique. En 4 mois, nous n’avons survolé qu’une infime partie du territoire et à peine effleuré ses richesses.

Le coût de la vie est très raisonnable et notre dollar nous donne un très bon pouvoir d’achat. Alors que nous nous sommes permis beaucoup plus de gâteries qu’au Canada et aux États-Unis (restaurants, sorties, activités), nos dépenses quotidiennes ont diminué de près de la moitié. Ceci en fait une destination de choix pour un moyen ou long séjour pour le voyageur indépendant.

L’aspect découvertes culinaires est un attrait certain pour les gourmands comme nous! La cuisine Mexicaine est fraîche, variée, colorée, goûteuse, abordable, piquante, omniprésente. Elle est tout simplement délicieuse et vaut le détour à elle seule.

Tous les biens et services sont disponibles. Les services de santé sont accessibles et de bonne qualité.

Pour les voyageurs en VR, les lieux de camping sont multiples, tant ceux organisés que les endroits disponibles pour le camping autonome.

Au niveau des inconvénients, nous pourrions nommer la présence de déchets à plusieurs endroits. De plus, les réducteurs de vitesse, communément appelé topes représentent un irritant majeur au niveau de la conduite, tout comme l’absence d’indications routières. Aussi, les policiers de la grande région entourant la capitale peuvent arrêter sans motifs valables les automobilistes afin de leur soutirer de l’argent, ce qui peut être intimidant.

Un petit mot sur la conduite au Mexique: contrairement à l’opinion populaire, nous avons trouvé que les Mexicains ne sont pas de mauvais conducteurs. Même si la signalisation (feu rouge, arrêt, limite de vitesse) n’est pratiquement jamais respectée, force est de constater que le gros bon sens prévaut. Une fois les règles de conduite non écrites assimilées, la conduite n’est pas si difficile.

Bref, nous sommes ravis de ce séjour au Mexique et nous avons déjà hâte d’y revenir.

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